Le reportage de France 3 au 19/20
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Bienvenue sur le blog de la FCPE de Montigny-le-Bretonneux !
Au nom des bureaux des conseils locaux primaire-maternelle, collèges, lycées, bienvenue sur ce site de la FCPE (Fédération des Conseils de Parents d'Elèves) de Montigny-le-Bx qui regroupe 6 conseils locaux.... (lire la suite ici par François ANDRE)
L'Education à Montigny vous intéresse? Contactez-nous, et rejoignez un groupe de parents d'élèves actifs. Les contacts :
Primaire maternelle : fcpe.montigny@gmail.com
Collège Les Prés : lespresfcpe@gmail.com
Collège Giacometti: tazimail@free.fr
Collège La Couldre: fcpelacouldre@gmail.com
Blog FCPE La Couldre fcpelacouldre.asso-web.com
Lycée E. de Breteuil: fcpe.lyceebreteuil@gmail.com
Lycée Descartes: fcpe.descartes78@gmail.com
Blog FCPE Descartes http://fcpe78descartes.asso-web.com
Samedi 7 septembre 2013: Forum des Associations 9h-19h
Mardi 10 septembre 2013: Réunion de rentrée FCPE lycée Descartes 19h
Mardi 17 septembre 2013: Réunion de rentrée FCPE Collège Les Prés 20h
Jeudi 19 septembre 2013: Réunion de rentrée FCPE lycée Emilie de Breteuil 20h
Mardi 24 septembre 2013: Réunion de rentrée FCPE collège La Couldre 18h
Vendredi 27 septembre 2013: Réunion de rentrée FCPE collège Giacometti 20h
Jeudi 10 octobre: Soirée Handicap organisée par la Maison de la Famille, Salle Jacques Brel 20h
Vendredi 11 octobre 2013: Elections de parents d'élèves
(nous re-publions cet appel important à la mobilisation)
Pour le premier degré, à l'appel du Snuipp et du Snudi FO
Journée de grève et manifestation
La mobilisation des enseignants des écoles face à la politique éducative du gouvernement s’annonce très forte, d’ores et déjà plusieurs centaines d’écoles de la région parisienne seront fermées mardi prochain.
L’insuffisance du nombre de postes, le projet de nouveaux programmes (lire nos articles, ici et ici), les stages de « remise à niveau », la réaffectation des deux heures supprimées du samedi matin, la mise en concurrence des écoles par la publication des évaluations… ces réformes actuellement mises en œuvre par Xavier Darcos sont rejetées par les enseignants.
Manifestation 14H République - Nation par Bd Voltaire
Pour le second degré, à l'appel des coordinations lycéennes
Toutes les coordinations ont rendez-vous place de la République à 14H
(contrairement à ce que nous avons publié précédemment, tout le monde a bien rendez-vous à la place de la République)
Les lycéens du bassin Saint-Quentin se sont donnés rendez-vous à 12h15 à la gare de Saint-Quentin pour prendre le train de 12h33 en direction de Montparnasse.
La FCPE donne rendez-vous aux parents d'élèves FCPE d'Ile-de-France à 13h45 à l'angle du boulevard du Temple et de la place de la République, sous son ballon. C'est un rendez-vous unique, la dernière forte mobilisation avant les vacances, pour se joindre aux élèves!
Souce Libération 27/03/2008
La grogne s’amplifie depuis le 15 février contre le projet de réduction des effectifs enseignants et non-enseignants dans l’Education nationale.
Entre autres, à Toulouse le collège en zone ZEP de Bellefontaine est ainsi en grève pour ces raisons depuis le 18 mars. Près de Saint-Gaudens, c’est l’école primaire de Sengouagnet et ses parents d'élèves qui se mobilisent contre les fermetures.
Á leur tour, les enseignants du lycée Pierre d’Aragon de Muret promettent une «occupation nocturne» de leur établissement ce lundi 31 mars. Ils expliquent le mouvement des profs :
«Nous ne menons pas un combat corporatiste ! Les enseignants refusent d’accomplir les heures supplémentaires correspondant à des suppressions de postes. La surcharge de travail ou la surcharge des effectifs entraînerait en effet une dégradation réelle de l’enseignement qu’ils ont le devoir d’assurer auprès des élèves.
Les élèves ne sont pas des machines ni du matériel interchangeable, mais des personnes charmantes et intéressantes, même lorsqu’elles sont parfois indisciplinées, qui réclament une attention de chaque instant et une écoute réelle.
C’est pourquoi, le premier mouvement des enseignants consiste, dans ces conditions, à refuser de gagner plus d’argent (trois ou quatre heures supplémentaires représentent près de 400 euros).
Cela peut paraître étonnant, mais nous affirmons ici, que la plus grande partie des enseignants veulent gagner leur vie honnêtement, c'est-à-dire sans nuire à leurs élèves.
Les suppressions de postes correspondent pour moitié seulement à des départs en retraite. De jeunes professeurs arrivés à leur poste voient celui-ci supprimé. Par ailleurs, chaque départ en retraite non remplacé entraîne souvent la suppression d’une classe, le regroupement des élèves dans des classes surchargées, soit 36 élèves ou plus …
La suppression programmée par le gouvernement de 8000 postes d’ici 2012 ne signifie cependant pas nécessairement 8000 enseignants en moins. Ils seront seulement de plus en plus précarisés ou bien affectés sur deux ou trois établissements.
En dégradant la stabilité des équipes, on détruit plutôt qu’on ne construit des pédagogies cohérentes pour les élèves.
Il s’agit pour l’Etat de faire des économies dans le plus gros de ses budgets, celui de l’Education. Ces économies sont présentées par le Ministre comme le résultat d’une simple réorganisation des affectations d’enseignants.
En fait, il y aura suppression de classes et regroupement des élèves de niveaux différents pour l’enseignement du latin, du grec, de l’anglais et de l’allemand et disparition des options Arts plastiques et Éducation Musicale,..
Derrière cette «réorganisation» se profile un appauvrissement du nombre des matières à enseigner (Livre Blanc du Ministre de L’Education).
Les Rectorats font des moyennes surprenantes qui reviennent à additionner les pommes et les carottes, ce qui aboutit à d’étranges calculs : «si on additionne tous les élèves de Secondes, de Premières, de Terminales et qu’on divise par le nombre de professeurs, cela donne 25 élèves par enseignant, et donc tout va bien»…
Enfin, la «qualité de l’enseignement» concerne autant les élèves que les professeurs. Selon les rectorats ou le ministère, elle serait réalisable même dans des classes surchargées. Nous désirons savoir ce qui justifie une telle affirmation que nous contestons».
Les professeurs du Lycée Pierre d’Aragon à MURET (Haute Garonne)